Lettre: une salutation de votre part, c'est toujours beaucoup, je suis sûr de l'existence de cet occulte. J'ai surmonté l'optimisme, maintenant il est praticable d'évaluer la cohérence ou un dysfonctionnement, l'impossibilité de faire, l'indicateur de l'humain. Un mal est arrivé, rien ne peut être fait, quand la rue est publique, le système sera structuré pour se conformer au premier mais, il y en a toujours un, pour ne pas offenser sinon vous ne vivrez pas. Le reste glisse en nous gardant liés à l'existence et au système, qui vous a dit que vous êtes une petite personne, que vous êtes un grand environnement différent de celui-là. Vers le bien il n'y a aucun doute, l'éducation d'un jour, si vous voulez l'institution, changera totalement l'existence, comme toujours. De belles vacances abandonnées aux plus beaux souvenirs, laissez l'expérience glisser comme un bal en liberté, le résultat sera bon.
Dites-moi la vérité: vous ne croyez pas grand-chose, en fait vous ne croyez pas du tout au potentiel inédit du monde d'aujourd'hui... oui, tout semble passer inaperçu, le passé récent disparaît, tout est caché comme s'il était pourrait être fait, rien n'est un autre bien qui vit là où nous sommes. Un jour, cela arrive de quelque façon que ce soit, personne ne parle encore et pourtant c'est arrivé. J'ai des certitudes de relations artificiellement modifiées entre deux ou plusieurs personnes, comme tout pour vous ou pour nous, réalisées par des parents, des amis, des amis, des citoyens de votre ville conformément au garçon "convenable" ainsi que d'autres choses indescriptibles et imprévisibles, construites sur la disposition d'une entreprise qui a explosé alors, sous-traitée voire volée mais, maintenant c'est l'été personne ne semble intéressé, comme d'ailleurs pour toute l'année, une voie publique ou un participant à la grande aventure du bien, si grande qu'elle soit souvent effrayante, ça fait reculer, aussi la faute d'un pouvoir mafieux sombre qui a influencé les gens, le pouvoir de l'impuissance, je ferai tout si quelqu'un ne se présente pas. Une construction nous emmène dans un monde plus haut, plus équipé, la surprise sera tellement grande, je ne sais pas qui retiendra l'impact. Aujourd'hui nous sommes à un point de départ, cela veut dire aussi sans supports préalables. Cette vie est variée, colorée, on ne peut pas vivre éternellement suspendu, parfois on tombe tous ensemble, si on veut c'est comme un accident, il s'avère que l'on ne continue pas de façon linéaire mais commune à deux, dans le bien tout est pour vous, d'accord, dans le mal, cela semble complètement obscurci.
J'ai vu des milliers de personnes: mortes comme des poissons morts dans la mer, endormies. La naissance survient lorsque le malade meurt, la vraie nature est découverte. Un mal compris par une personne qui a son âme élevée au ciel, qui se tait ce n'est pas moi, dans le bonheur je vis toujours la vie de l'intérieur, j'observe la nature des choses pour se réjouir et créer. Je crois au retour éternel des choses, il m'arrive de quitter la maison et de trouver la réalité d'une manière très différente de celle décrite, dans l'actualité surtout la confirmation de la société décomposée qui à la hauteur fonde un mal comme force brute majeure, peut-être pas encore assez évolué pour comprendre ou interpréter un bien? J'attends les événements. Vous n'êtes pas mauvais, un jour vous serez racheté. Qui vit est sans espèce, sans avenir planifié, est une mort sans suite, un chemin sans fin, comme on peut se retrouver dans des lieux toujours imaginaires, est une dénonciation où l'ignorance est, placée comme des lieux mortuaires, on vit enterré depuis longtemps. Ouvrez les yeux pour voir un mauvais système métrique de valeurs, personne n'est intéressé et pourtant tout le monde s'intéresse aux souvenirs, au fil du temps, des âges, du futur.
Le bien est parfait: une fois la leçon apprise, c'est un travail continu. Je suis génial, je ne veux plus faire le tour, ton salut est bien meilleur que beaucoup d'autres choses, tu es une bombe gardée dans le temps, rapide et à l'insu du mal. En attendant les règles, le début de la sécession. Le bien et les rêves deviennent réalité comme des choses matérielles qui surgissent de l'inconscience, la terre brûle, elle se résout dans l'après-midi. Vous ne croyez en rien, donc il n'y a rien à faire, rien n'a été fait, vous savez que j'aimerais savoir qui est aux prises avec une maladie. C'est une vie brûlée, on ne peut pas interrompre un cycle qui a commencé, on tombe brusquement sur son existence, on ne recule pas, qui est si arrogant au point de vouloir cacher des intérêts, le mutable est la couleur du bien, on retombe sur terre avant la mort, ça doit être un sport! Adieu, état de ténèbres citoyen et quiconque en parle, installation du monde à l'envers, utopique. Non, je ne veux plus faire le tour, j'ai déjà passé, toutes les concessions et il semble que le pays des interdits.
Ici jai trouvé la paix, un autre air avec de vastes espaces pour se reposer et la compagnie damis, pas mal ou ville chaotique... que la vie vous sourie toujours et que le soleil dans votre cœur ne meurt jamais. Bonnes vacances, G.
2. Document.docx
16.09.2005
Effraction: la vérité est comme un jeu de cartes ou d'effets, malléable, très important pour la loi, le silence, la lumière naturelle du Soleil, de la Lune, sans ajouts comme l'air que nous respirons. Les biens sont beaux, pas beaux, comme quand on vieillit, on bouge seul, on ne pense pas toujours qu'on le fait déjà, le temps a passé, on cherche le chemin déjà tracé, on avance. Le temps forme pour nous des réseaux d'univers et de fins, l'art signale en oblique ni trop haut ni trop bas donc il est utile. En réalité, les maux apportent aussi des problèmes: l'amour c'est samedi, l'Italie est une erreur, un indice clair d'échec, une possession du mal mais, comme il y a de nombreuses années tout est en place, la route est droite, sur les flancs des arbres traverser.
Ce qui se passe m'intéresse, je trouve ça sympa de s'offrir un paquet de cigarettes, de passer la soirée à les fumer presque toutes. Libere-toi! Il n'y a pas d'échappatoire à cet endroit, vous décidez du bien, vous décidez de la vie. Ce fut une grosse erreur de ne pas être satisfait, comme se faire tirer dessus par le mal, c'est-à-dire sans espoir, toujours mieux un contact plus loin, qu'avons-nous fait sinon faire tout le bien. Allez, jouez, bougez, ne fuyez pas, le bien est bien plus fort, même si pour beaucoup il n'existe pas ou il n'y a probablement que ces démons, ils dominent le monde submergé et les visages couverts.
Le mal vous entre peut-être? Êtes-vous distrait? Nous aurions sur nous des restes de l'animal humain mais il est vrai que nous n'avons pris que la part de l'amour accordé ou réclamé, laissant le luxe. On a donné au diable pas au diable pour faire partie de la société, alors le diable devrait être mauvais et on préfère vivre dehors, en fait on dit que quiconque est entré a trouvé la lumière, en réalité il est ruiné, triché. La tête ne doit ni la lever ni la baisser, la laisser droite et la déplacer dans le sens horizontal pour trouver ta loi puis minimiser tu n'as pas à le faire, putain celui qui a fait des clichés, tout est déjà là car du coup je l'avais déjà surmonté, négligé ou volé, vous vivez ces jours-ci dans le monde de ce qui n'aurait pas dû arriver et du mal non signalé. Vous devez être profondément riche, pratiquer un art. Merci oui, grâce à vous, il y a tellement de matériel au-delà de la mort dans la vie, nous sommes dans une prison non sollicitée, unis dans le destin puis à la fin c'est seulement la sécurité qu'un jour nous irons plus loin, entre autres pour l'Etat nous ne sont que des biens, transparents, limpides et immaculés, et dans tous les cas, si vous ne reconnaissez pas un mal, nous ne faisons généralement rien. Ici on passe l'existence sereine, c'est-à-dire que seule l'imagination devient réalité, quatre-vingt dix pour cent de ce que l'on voit, après tout c'est des mathématiques ou le contraire, la nicotine peut aussi être une amie et la solitude varie, alors on va bouleverser les idées, il y a beaucoup de gens qui ne pensent pas du tout, ce n'est même pas de leur faute, sur le net presque tout le monde est expulsé, on ne ressent pas de douleur aiguë. Les ânes et les moutons qui s'appellent ou, fidèles au mal, ne savent même pas ce qu'ils ont dit. Si quelque chose de mauvais arrive, vous ne savez pas ce qui se passe! Combien le temps exagéré est éphémère, combien mal exploité le génie de la vie, le présent. Faites attention à l'art ainsi qu'à l'état d'inutilité, une liste de choses possibles, car le reste caché est réel, en souvenir d'un monde qui n'existe plus ou qui prétend encore porter. Peurs, terreur, combien de maux doivent encore être vaincus, l'ignorance peut-être un État. Sortir d'un cycle sain et répété est une réalité à laquelle il est interdit d'y penser, à la fin des temps elle sera individualisée, la question est évidente, la solution est certaine. Le monde s'est arrêté puis l'année deux mille a recommencé, non seulement moi un mal empêche un art, une harmonie autant que possible, quelle que soit la façon dont nous sommes en ligne, le jeu est terminé, nous sommes réservés j'espère que ça se passe bien, toujours. A bas les maux installés au soleil et plus de fruits mélangés, il faut savoir choisir les gens avec qui sortir, l'expérience dépend tout des habitudes... voyons à qui sont les responsabilités, ne pensez pas mal, personne n'est mort.
Que le passé brille comme le soleil du présent. 16/09/2005, G.
3. La gratitude
04.10.2005
Les gens ne veulent pas reconnaître le bien, même s'ils sont dans le maximum du mal tout est normal, pensez-vous... mais ne sont-ils pas dans une conscience active et une connaissance du contemporain? Cela semble un repos aux yeux de ceux qui le voient ou, que rien n'existe, le monde est fini. On dit qu'un jour tu tomberas! Combien d'idiotie il y a en nous, peut-être de trop de mal acquis ou, de l'imposition ignorante et maligne que nous avons succombé au silence, est un univers non déclaré coloré de lumière anti-chrétienne, même aujourd'hui leur idée, leur enfer se glisse dans la terre. Le silence, l'horreur, le faux fascisme donc, le désaveu du pouvoir qui est le maximum de l'aveuglement qui peut être créé, par contre en réalité on continue, même si en négligeant le discours les natures ne peuvent pas changer, les objets qu'elles vont matérialiser comme dans un dessin, à un certain moment, ils deviennent nos cibles, sans aucune raison.
Parler à la première personne est si difficile, avez-vous vu ceux qui voulaient changer le monde, pourquoi se sont-ils arrêtés? Ici tout est disponible, le béton est peut-être un désastre: un jour, nous renaîtrons bénis. Un design créé au fil du temps par les expériences qui nous cachent, un jour il arrive comme un train, il se réalise aussi là où se trouve l'interdit ou, l'impossible. Je veux l'ignorance ci-dessus, ouvrez les yeux sur ce qui existe, cela dépend beaucoup de ce que vous voyez. Un bien n'est pas impossible à payer, un mal ne peut être atteint. La réalité de ce monde est dans un autre, ou nous serons tous pareils à nouveau, cela semble une situation embarrassante, dans le maximum de maux dont personne ne sait rien, sous les yeux de tous il semble évident que nous sommes dans une position différente de celle déclarée par l'Etat, disent les institutions concernées mais, elle semble avoir disparu pour l'instant. Il y aura une émeute, la fin du monde. Nous vivons une couverture psychophysique, une tromperie ou un dysfonctionnement créé existant, comme arrêté en place, ouvert dans la tête mais sans réponses. Essayez de donner des avis, nous sommes tous ici et personne ne peut juger, non? Les textes seront incommodes. Chacun vit dans son propre monde, après que nous vivrons tous ensemble et que chacun saura les choses de chacun. L'avenir du monde est certain, une fissure c'est que tout se brise. Non, c'est le faux fascisme qui occupe nos esprits pour que tout reste malsain et décrépit, comme la réalité est d'un monde qui est donné pour finir par en démarrer un nouveau, il nous faut un ordinateur avec des logiciels très différents. Il y a une montagne à gravir, tout comme il n'y a rien, votre mal doit être vaincu! La société est complètement défaite, vouée à la ruine des esprits et des corps. Un processus initié ne peut être annulé, il va de plus en plus haut jusqu'à ce qu'il se termine, puis il y a l'infini et puis rien ne peut être récupéré pour le faire revenir à la norme, la vie devient au-delà, de nouveaux habitats oui, mais post mortem. L'enfer, le champ sacré et un hôtel sain, la Terre déjà existante et renouvelée. Laissez-nous seuls les états corrompus, ce qui se passe maintenant ne concerne pas votre cause... blague nous sommes tous humains, j'ai découvert un nouveau critère de pouvoir, l'aptitude au commandement est attendue, ce que vous voyez est, ce que vous ressentez, comment ne le faites-vous pas pour renouveler les sens selon l'expérience du juste, même si anormale une alternative nécessaire est commune, merveilleusement la vie est histoire, car du sentiment d'exclusion du mal même y ayant été, alors on se retrouve guéri en bonté, on ne peut pas continuer sans le répéter. Ne jetez jamais cet accord, cette fleur, la suite après ce qui nous manque, plus ceux qui l'ont déjà écrit, du plus riche au plus mendiant que nous vivons ou avons accepté dans le mal, comme je le dis souvent: c'est déjà terminé mais c'est n'a pas d'existence terminée ou légale. Il est absurde de nier la présence évidente de ceux qui nous ont dit que c'est une affaire personnelle, la honte sera ouverte, le mal égal à la mafia, rien n'est garanti de nos jours, comme l'hiver prochaine saison, seul le bien permet de distinguer. De nouveaux vêtements modernes, d'un nouveau tissu frais, de nouveaux accessoires et en option. Un jour, le voyage sera à sens unique pas comme aujourd'hui ou de nos jours, avec la tête ruinée par des êtres morts parmi nous, des parties du cerveau perdues. Ce sera comme se réveiller après vingt ans, l'avenir nécessaire. Ceux qui se disent satisfaits du mal que tout, au lieu d'un seul état de transition, que pensez-vous que cela peut nous coûter, admettent que tout est réel décrit dans sa nature, il y aurait plus de liberté. Ah! Agréable de porter de bons vêtements. Des jours, des mois, des années, des vêtements et des prisons. Aujourd'hui que tout est défait, toujours tout à refaire, vous terrifiez quelqu'un, tout semble comme il a été laissé, nous sommes toujours là pour toujours, méfiez-vous... le jour sera une fleur une fois que les barrières du mépris commun seront résolument détruites, un maladie comme ceux déjà embauchés: et oui vous le saviez, allez! Nous devons être satisfaits de notre position d'idéal, créé par nous-mêmes pour refléter notre désir personnel. La vie ne continue pas normalement mais, il y a un mauvais ou un bon, tu ne trouves pas? Ce n'est pas si léger en dehors d'un silence, comment ne pas remarquer ce qui reste du fascisme.
Nous vivons prisonniers du mal comme des enfants, c'est drôle d'avoir peur de la chose la plus connue au monde même si cela n'est jamais dit, c'est seulement dans l'art que j'ai trouvé des preuves, le reste est loi ou silence, si quelque chose, l'ignorance et la lobotomie. Combien de pouvoir se cache dans ce qui nous est interdit ou, non permis, combien il est plus facile de faire le bien, juste un coup de téléphone, un paiement accepté partout dans le monde... et tout ira bien. Bonjour... à la prochaine vie, maintenant appuyez sur ce bouton, il y aura silence et tout sera à vous. Ce serait comme nier de ne pas dire toutes les choses qui peuvent être faites pour ouvrir l'infini ou, votre personne, ils m'ont dit de le faire seul mais, le monde en possession du bien est un acte social global, alors rien, rien, comme c'est moche cette période de perdition, de dissolution de l'âme mais derrière il y a une grande tromperie, on reste piégé, trahi au milieu des traîtres, c'est le contraire car n'existant pas, comme n'étant personne, au contraire nous étions la dissolution! D'un autre côté, comme la liberté est belle, j'ai découvert que c'est toujours nous, la réalisation maximale des rêves humains, cela devrait aussi justifier l'énorme polémique entre les gens, toujours coincée aujourd'hui: il n'y a rien, rien ne s'est passé. Donc rien ne doit vous apporter le mal, alors peut-être qu'il disparaîtra. La même chose ne se dit pas un jour nous tombera dessus, ce qui était déjà arrivé et ce qui va se passer, il vaut mieux se contenter de quelques objectivités, les gens pleurent qui sait s'ils existent encore... ceux qui ne connaissent pas le concret s'il est nécessaire de parler d'une nouvelle voix pour rester libre des faux réseaux, peut-être dans un autre faux monde parce qu'au contraire il y avait déjà un autre vrai monde, il faut s'exclure de trop d'ignorance et du travail de l'oubli. La vie est un art, vivre est l'acteur qui joue les rôles d'un scénario, alors qu'il y a le chaos dans les esprits. Un ordre peut aussi être atteint naturellement, au cas où ce qui existe peut être décrit partout, ce sont des voleurs! Le présent est le praticable, un jour nous reviendrons, la nature seule fait le travail alors que la neige tombe. Ils veulent que nous fassions taire "le bien" tous les jours, ne créent pas trop de problèmes, arrêtez-le, ils créent le grave manque.