Par conséquent, lArabie Saoudite, avec laide secrète israélienne, provoquait le chaos et leffusion de sang dans les pays du Moyen-Orient et dAfrique du Nord en fournissant des millions de dollars darmements à Al-Qaïda et à dautres réseaux Takfiri musulmans accusant dautres musulmans dapostasie qui ont déstabilisés et détruits des civilisations autrefois majestueuses en Irak, au Liban, en Libye et en Syrie en attisant des troubles sectaires. En servant ses propres intérêts, lArabie Saoudite aidait involontairement à satisfaire le rêve dIsraël dinstabilité politique et de chaos (diviser pour mieux régner) dans les pays à prédominance musulmane qui lentourent. Du point de vue saoudien, lexistence dIsraël en tant quEtat servait à faire en sorte que les populations arabes de lEtat du Golfe se concentrent sur Israël en tant quennemi plutôt que sur leurs monarchies autocratiques, qui nétaient juridiquement ni liées ni restreintes par les constitutions.
Le motif de linterférence de lArabie Saoudite en Syrie, par exemple, était son désir de neutraliser linfluence régionale de lIran. Tous ces discours de soutien à la démocratie en Syrie nétait quun pantomime politique avec pour objectif réel linstallation à Damas dun régime soumis à lArabie Saoudite qui signifiait être inféodé et soumis au contrôle géopolitique des États-Unis, dIsraël et des alliés de longue date qui constituaient la poussée impérialiste hostile contre lIran. Entre-temps, la Grande-Bretagne, la France et les États-Unis continuaient à affirmer avec insistance quils soutenaient « un soulèvement pro-démocratique » un euphémisme pour changer le régime en Syrie, qui bien sûr était attendu par ceux qui affirmaient hypocritement quils « défendaient » la liberté et les droits de lhomme. Ces revendications, cependant, nétaient rien dautre quune conspiration criminelle occidentale qui coïncidait avec les plans dIsraël et qui servaient les intérêts des dictateurs brutaux de lEtat du Golfe féodal chéris pour leur pétrole brut. La cause djihadiste était par conséquent celle pour laquelle Malek Bennabi sétait impliquée sans réserve et en particulier pour aboutir aux plans de donner à lOccident une leçon en leur faisant subir une autre attaque terroriste.
8ème arrondissement, Paris, France
Après avoir échangé les sacs avec Malek et quitté le café, Pierre un homme dont les traits et les manières banales assuraient quil passerait inaperçu se dirigea vers le parking voisin de la rue du Faubourg-Poissonnière, où il récupéra sa Renault Clio ordinaire et se rendit à son appartement dans le quartier de lEurope dans le 8ème arrondissement. Malgré son attitude déférente, Pierre décourageait toute socialisation avec ses voisins dans limmeuble. Lappartement ne lui appartenait pas. En effet, de nombreux logements dans les villes du monde étaient loués à long-terme ou achetés pour lusage du Mossad. La porte de lappartement avait été protégée contre les explosifs, les fenêtres résistantes aux balles et le verre pouvait dévier les scanners. Pierre était un katsa du Mossad.
Le Mossad était le service de renseignement israélien responsable de planifier et de mener des opérations spéciales au-delà des frontières israéliennes ; de réaliser des activités secrètes à létranger, y compris la collecte de renseignements, le développement et le maintien de relations diplomatiques et dautres relations avantageuses ; dempêcher lextension et lachat darmes non-conventionnelles par les pays réputés hostiles à Israël comme lIrak et lIran ; de prévenir les actes terroristes contre des cibles israéliennes à létranger ; damener les juifs chez eux des pays où il ny avait pas dagence juive Aliya pour Israël ; et de rapporter des renseignements stratégiques, politiques et opérationnels.
Pierre avait reçu sa dernière mission à Paris six mois plus tôt, suite au succès de la dernière opération faux-drapeau grâce à sa maîtrise de larabe, du français et de lallemand qui lui furent très utiles pour ses personnages dhomme daffaires, représentant des ventes de logiciels, photographe indépendant et même auteur de guide de voyage en utilisant différents alias, des passeports lavés et des détails biographiques méticuleusement compilés par les chercheurs du Mossad. Sa qualité et son succès en tant quagent étaient principalement dus à ses capacités félines dinstinct prédateur patient, son sens de perception des forces et des faiblesses humaines et sa capacité démesurée de persuasion pour manipuler les gens.
Ceux sont ces qualités qui lui avaient permis pendant plus dune décennie dêtre lagent le plus efficace du Mossad, daider à établir clandestinement lEtat islamique dIrak et de Syrie (ISIS) avec le recrutement, la fourniture darmes, le soutien financier et lidéologie qui avait joué un rôle crucial pour inculquer chez les terroristes le motif initial dagir et leurs objectifs sélectionnés.
Ces objectifs considérés comme légitimes réunissaient des individus et des institutions considérés être opposés aux principes idéologiques et au cadre moral de lEtat islamique. La propagande idéologique avait également permis aux terroristes et au reste du monde de justifier lutilisation de la violence barbare en transférant le concept de « légitime défense » dIsraël justifiant la brutalité criminelle contre le peuple palestinien la responsabilité à leurs victimes.
En conséquence, les médias dominants contrôlés/intimidés par les sionistes et par un public invariablement somnolant en occident posaient rarement les questions : pourquoi Israël était surtout et apolitiquement concernée par les palestiniens, les iraniens, les syriens et les libanais plutôt que par Al-Qaïda, al-Nusra et lEtat islamique ? Pourquoi ces groupes mènent-ils des guerres contre les ennemis arabes dIsraël, mais non contre Israël ? Pour commencer, le chef des frères musulmans responsable de diriger la guerre contre le régime syrien ne réside ni à Beyrouth, ni au Caire, ni à Riyad, ni à Téhéran, mais à Tel-Aviv. La réalité était quen fournissant une aide médicale, une formation militaire de base et une assistance militaire pure et simple, l'État dIsraël était un bienfaiteur et un ami des groupes terroristes musulmans. En outre, selon un groupe de réflexion sous contrat avec lOTAN et le gouvernement israélien, loccident ne devrait pas détruire le groupe islamiste extrémiste qui a commis un génocide et nettoyé ethniquement les groupes minoritaires en Syrie et en Irak parce que le soi-disant état islamique peut être utilisé comme un outil pour déstabiliser lIran, le Hezbollah, la Syrie et la Russie.
Lincitation secrète du Mossad à envahir descadrons de mort le monde arabe a été menée par des fanatiques religieux, des sauvages semi-analphabètes et des criminels aliénés connaissant peu lislam, qui ont néanmoins ironiquement conservé leur haine avérée pour Israël parce quils ignoraient le fait quIsraël était leur principal sponsor ou quils sont tout simplement incapables de comprendre quoi que ce soit en dehors de ce que leurs dirigeants manipulateurs leur racontaient. Ces manipulateurs bénéficiaires de la bienveillance israélienne dont lincorrection politique ne pouvait se décrire que comme « corruption israélienne flagrante ». En réalité, la seule considération et motivation principale de la plupart des djihadistes étaient la perspective de recevoir les « trente pièces dargent » proverbiales sans prendre la peine de poser de questions.
Lincitation secrète du Mossad à envahir descadrons de mort le monde arabe a été menée par des fanatiques religieux, des sauvages semi-analphabètes et des criminels aliénés connaissant peu lislam, qui ont néanmoins ironiquement conservé leur haine avérée pour Israël parce quils ignoraient le fait quIsraël était leur principal sponsor ou quils sont tout simplement incapables de comprendre quoi que ce soit en dehors de ce que leurs dirigeants manipulateurs leur racontaient. Ces manipulateurs bénéficiaires de la bienveillance israélienne dont lincorrection politique ne pouvait se décrire que comme « corruption israélienne flagrante ». En réalité, la seule considération et motivation principale de la plupart des djihadistes étaient la perspective de recevoir les « trente pièces dargent » proverbiales sans prendre la peine de poser de questions.
Par conséquent, le penchant dIsraël au chantage, à la corruption ou à lachat de recrues pour la stratégie de « la poudre aux yeux » lui avait permis de créer habilement le Hamas son soi-disant ennemi juré pour désunir lOLP et le Fatah, lui permettant de simpliquer directement dans limplantation du terrorisme islamique dans les autres pays du Moyen-Orient en établissant des groupes faux-drapeau dAl-Qaïda sur le territoire sous son contrôle afin de justifier son mauvais traitement du peuple palestinien.
Ainsi, bien quétant apparemment engagé dans des hostilités meurtrières contre Hamas, ce fut le gouvernement israélien du premier ministre à lépoque Menachem Begin, qui en 1978 dans une tentative calculée de déstabiliser lOLP et le pouvoir de Yasser Arafat approuva lapplication de Sheik Ahmad Yassin détablir un organisme humanitaire connu sous le nom dAssociation islamique ou Mujama. Le fondamentaliste des Frères musulmans était le centre de ce groupe islamiste, qui a fini par sépanouir au cœur du Hamas avec laide dIsraël, qui selon les anciens et actuels responsables du renseignement américain avait fourni à la fin des années 70 une aide financière directe et indirecte à Hamas afin de lutiliser comme contrepoids à lOLP laïque en exploitant une alternative religieuse concurrente. Les israéliens étaient également connus pour avoir reccueilli et dirigé des camps dentraînement de mercenaires terroristes sur leurs propres territoires afin de produire des mercenaires sur mesure pour les utiliser dans le monde arabe.
Avant dêtre transféré à Paris, Pierre avait joué un rôle clé dans la mise en place dune opération impliquant Ansar Beit al-Maqdis les champions du site saint ou champions de Jérusalem un groupe militant de la péninsule du Sinaï qui opère depuis Sanai-Rafah. Le groupe qui aurait été affilié aux frères musulmans actifs dans la région tout en promouvant lallégeance à létat islamique avait intimidé durant des mois des civils des deux côtés de la frontière par des attaques meurtrières. A la suite de ces attaques, larmée égyptienne a ordonné lévacuation des civils qui habitaient dans la ville de Rafah située entre la frontière égyptienne et la bande de Gaza.
En évacuant Rafah et en renforçant une zone tampon le long de la frontière de 12 km, lÉgypte espérait sécuriser sa frontière, arrêter lacheminement des armes vers les groupes militants et empêcher de nouvelles attaques dans la péninsule.
La zone tampon dÉgypte a touché plus de 10 000 habitants en engloutissant de nombreuses terres agricoles sur les deux zones. Des milliers dégyptiens et de palestiniens de Gaza sont devenus alors des sans-abris. Laction dÉgypte encore un autre exemple du mépris continu du sort des palestiniens fut également de fermer la dernière traversée de Gaza vers le monde extérieur, avec Rafah elle-même divisée entre Gaza et lÉgypte. Israël sétait réjouie de la création dune zone qui reflétait sa propre application en 2001, une zone similaire autour de Gaza qui était une bande de trois kilomètres de large occupant 44% du territoire de Gaza.
Bien que le Mossad soit relativement modeste comparé à beaucoup dautres services de renseignement, il avait cependant réussi à élargir son efficacité opérationnelle en dirigeant un réseau dactifs étrangers et sayanim (aides volontaires) pour participer aux opérations locales de renseignement et despionnage. Sayanim sont des activistes étrangers juifs non-officiels recrutés sous la promesse chargée démotion quen fournissant à Israël et à ses agents une assistance et/ou un soutien lorsque nécessaires en utilisant leurs capacités professionnelles banquiers, hommes daffaires, fonctionnaires, dirigeants communautaires, chefs dentreprise, médecins, journalistes, politiciens, etc. , ils aideraient à sauver des vies juives. Les Sayanim, qui réunissaient des membres du conseil des députés pour juifs et des plus grands organismes gouvernementaux dans les communautés nationales, nétaient pas rémunérés pour leurs services accomplis. Leur travail était rempli par dévotion et devoir envers Israël.
Katsas, ou agents de renseignement, supervisaient entre-autre les sayanim dont laide pouvait être dune importance stratégique, tels quoffrir des hébergements, des soins médicaux, un soutien logistique et financier pour les opérations. Les Sayanim entretenaient des contacts réguliers avec leurs superviseurs katsa à qui ils fournissaient régulièrement des nouvelles et des informations locales, notamment des ragots, des rumeurs, des programmes de radio et télévision, des articles ou reportages dans les journaux et tout ce qui pouvait être utile au Mossad et à ses agents. Les Sayanim rassemblaient également des données techniques et toutes sortes dautres informations manifestes.
Bien quils soient membres réguliers et supposés honnêtes de leurs communautés, les sayanim menaient néanmoins une double vie en étant étroitement associés au réseau de renseignement du Mossad. Une telle implication en particulier aux États-Unis, où les questions de loyauté furent soulevées par le fait que de nombreux juifs américains importants possédaient également la citoyenneté israélienne a conduit que des juifs de la diaspora soient accusés davoir une allégeance plus forte pour Israël que pour leurs pays dorigine. Les critiques de cette nature ont été simplement démenties par les juifs comme étant antisémites. Les sources de renseignements avaient estimé que le réseau sayanim mondial comptait plus de 100 000 personnes.
Les actifs par contre, contrairement aux sayanim, navaient pas à être juifs et comprenaient les anciens et actuels premiers ministres britanniques, les anciens et les actuels présidents français, les anciens et les actuels parlementaires dans les pays européens et bien sûr de nombreux membres du Congrès américain bicaméral. Lutilisation des actifs ou des agents dinfluence non-officieux dans la politique, les médias et autres professions importantes a permis à Israël dexercer une influence en son nom pour garantir que ses actions et politiques illégales soient toujours acceptées dans les cercles politiques et rapportées par les médias dans les termes les plus positifs et les plus encourageants possibles. Le succès mondial du Mossad comme celui dIsraël était dans une grande mesure dû au fait quil était toujours autorisé à sen tirer avec un type dactivités illégales qui ne seraient pas tolérées aux agences de renseignement des autres pays.
La mission de Pierre à Paris était dimplanter une autre opération israélienne à faux-drapeau qui apparaîtrait inévitablement non seulement antisémite, mais également une attaque terroriste islamique contre les libertés chères dont les citoyens occidentaux trompés croient en jouir. A la suite de limplication de Pierre dans ces opérations, il savait dexpérience que le succès dépendait dun nombre important de facteurs, y compris la structure de commandement dindividus obscurs et non-identifiés initiant et finançant lopération, le recrutement dun ou plusieurs gars simplets à faible QI ou de gars sur lesquels les médias traditionnels se concentraient comme étant les auteurs présumés comme ce fut le cas de Lee Harvey Oswald dans lassassinat du président John F. Kennedy en novembre 1963, lutilisation de professionnels hautement qualifiés qui tout en organisant et incitant aux attaques sont restés anonymes et invisibles de sorte que la culpabilité soit attribuée au bouc émissaire, et finalement un contrôle essentiel ou une influence sur les médias dominants dont la conformité à diffuser la désinformation servait à tromper le grand public en lui faisant croire que les simplets à faible QI étaient eux-mêmes responsables et non leurs instigateurs invisibles insaisissables et leurs agents professionnels.