La capacité audacieuse dIsraël à mener de telles opérations en toute impunité était justifiée par le fait que même lorsque ses opérations faux-drapeau échouaient ou étaient divulguées, Israël réussissait à échapper à la rétribution, comme ce fut le cas de laffaire Lavon : une opération secrète israélienne baptisée Opération Susannah menée en 1954 en Égypte qui avait impliqué le recrutement de juifs égyptiens pour planter des bombes dans des cibles civiles, cinémas, bibliothèques égyptiennes, américaines et britanniques et des centres déducation américains. Les attentats devaient être imputés aux Frères musulmans, aux communistes, aux nationalistes et aux mécontents égyptiens en vue de créer un climat dinstabilité violente qui inciterait le gouvernement britannique à garder ses troupes doccupation dans la région du canal de Suez en Égypte. Comme il sest avéré que la seule victime de lopération était lun deux portant une bombe qui sétait déclenchée accidentellement avant de la placer dans un cinéma, le groupe dagents présumés terroristes fut arrêté, dont deux de ses conspirateurs se suicidèrent et les deux autres furent jugés et exécutés.
Bien que lopération ait échoué, elle avait néanmoins servi lobjectif dIsraël en déclenchant une série dévénement impliquant les relations de pouvoir au Moyen-Orient, qui eut une répercussion jusquà ce jour : le procès public initial et la condamnation de huit juifs égyptiens qui ont mené lopération sous faux-drapeau, une incursion de représailles militaires dIsraël sur Gaza assassinant 39 égyptiens, un accord darmement égyptien-soviétique subséquent qui avait mis en colère les dirigeants américains et britanniques renonçant à soutenir financièrement la construction du barrage dAssouan, la nationalisation énoncée du Canal de Suez par le président égyptien Nasser en représailles au retrait de laide, et suivi par linvasion tripartite ratée en 1956 par Israël, la Grande-Bretagne et la France dans une tentative de renverser Nasser. A la suite de cette invasion ratée, la France a élargi et accéléré sa coopération nucléaire avec Israël, ce qui a finalement permis à lEtat juif de produire des armes nucléaires malgré lopposition du président américain John F. Kennedy suivi par son assassinat avec limplication du Mossad dIsraël.
Plus de dix ans plus tard, le 8 juin 1967, des avions de combat et des torpilleurs maritimes israéliens sans noms attaquèrent lUSS Liberty un navire de recherche technique naval dans les eaux internationales au nord de la péninsule du Sinaï tuant 34 membres déquipage et blessant 170 autres en endommageant gravement le navire - en vue de blâmer les égyptiens pour que les États-Unis entrent en guerre aux côtés dIsraël. Lexplication dIsraël, selon laquelle il pensait que le navire était égyptien, fut par la suite démentie à plusieurs reprises par les officiers américains du navire qui étaient certains que lintention dIsraël était de les faire couler, par un pilote du navire israélien qui avait immédiatement reconnu le navire comme étant américain et den avoir informé son quartier général lui ayant demandé dignorer le drapeau américain et de poursuivre lattaque ce pilote fut arrêté à son retour à la base -, par lambassadeur des États-Unis au Liban de lépoque qui avait affirmé que la radio de surveillance de lambassade avait entendu les protestations de ce pilote, par un commandant israélien à double nationalité membre du conseil de guerre qui avait affirmé quil ny avait aucun doute que lUSS Liberty était bien un navire américain, par un ancien avocat impliqué dans lenquête militaire concernant lattaque qui a proclamé que le président Johnson et le secrétaire de la défense Robert McNamara avaient donné instruction de « conclure que lattaque était un cas didentité erronée malgré la preuve accablante du contraire », par un ancien président des chefs détat-major qui après avoir passé une année à enquêter sur lincident avait déclaré que cétait « lune des couvertures classiques américaines Pourquoi notre gouvernement mettrait-il les intérêts dIsraël avant les nôtres ? »
Lagression, cependant, était restée jusquà ce jour le seul incident maritime dans lhistoire américaine où les forces militaires américaines furent tuées sans quil y ait denquête. Le refus du gouvernement denquêter correctement sur lattaque donnait un message clair aux israéliens que si le gouvernement américain dirigé par le président Johnson qui avait peur de finir comme son prédécesseur John F. Kennedy nosait pas les punir pour le meurtre des militaires américains, ils pouvaient donc sen tirer avec nimporte quelle autre attaque.
Lincapacité à ce que le gouvernement américain enquête sérieusement sur une attaque contre lAmérique avait conduit à ce que cela soit répété à une échelle beaucoup plus grande dans le cas du 11 septembre 2001 connu sous le nom de 9 septembre dattaques coordonnées contre des points de repère symboliques des États-Unis, y compris les tours jumelles du World Trade Centre (WTC) dans le Lower Manhattan à New York. Bien quils soient considérés comme les symboles de la puissance américaine dominant lhorizon de New York, les bâtiments du WTC coûtaient des millions de dollars à ladministration portuaire de New York dû à la chute du prix des loyers. Ces bâtiments posaient également un risque sérieux à la santé du fait que ses poutres dacier avaient été aspergées damiante ignifuge des décennies plus tôt lors de leur construction. Donc, après des années de litiges perdus en 2001, lautorité portuaire reçut lordre de retirer lamiante qui lui aurait coûté des milliards de dollars. Larry Silverstein un homme daffaires juif, propriétaire de Silverstein Properties et un ami très proche de Benjamin Netanyahu planifia donc dacheter le WTC des mois avant le 11 septembre pour 115 millions de dollars par le biais dun milliardaire sioniste Lewis Eisenberg, président du comité national républicain et chef de lautorité portuaire de New York.
Silverstein avait pour habitude de prendre son petit-déjeuner avec sa fille tous les matins au spectaculaire restaurant Fenêtres sur le monde du WTC, mais heureusement pour lui, le matin du 11 septembre 2001, il avait rendez-vous chez son dermatologue. Tout aussi fortuit pour Silverstein était le fait quil avait non seulement doublé la couverture dassurance des bâtiments, mais sétait également assuré que la couverture comprenne tout acte terroriste. Nourri par son toupet judaïque, il intenta alors une poursuite juridique contre la compagnie dassurance exigeant un double montant de dédommagement du fait que deux avions sétaient écrasés contre les tours jumelles du WTC et non un seul. Silverstein fut alors béni dune chance incroyable, lorsque tous les litiges du 11 septembre furent canalisés à la cour du juge Alvin Hellerstein, qui comme Silverstein et Eisenberg, était également un sioniste enragé ayant des liens étroits avec Israël. Inutile de dire que la demande de Silverstein fut acceptée par le tribunal et quil fut récompensé de 4 550 000 000 de dollars.
Par coïncidence, le fils et la sœur de lavocat Hellerstein avaient tous émigrés des États-Unis pour aller sinstaller dans les colonies sionistes orthodoxes sur les territoires occupés. Hellerstein et son fils travaillaient pour un cabinet juridique juif renommé Stroock, Stroock & Lavan LLP, qui en plus davoir une longue histoire de représentation des Rothschild et dautres sionistes de haute puissance, avait également fait équipe avec le tribunal civil, la société daide juridique et lAssociation City Bar pour établir un projet en réponse aux milliers de petites entreprises qui ont été physiquement endommagées ou perturbées par le 11 septembre.
Par coïncidence, le fils et la sœur de lavocat Hellerstein avaient tous émigrés des États-Unis pour aller sinstaller dans les colonies sionistes orthodoxes sur les territoires occupés. Hellerstein et son fils travaillaient pour un cabinet juridique juif renommé Stroock, Stroock & Lavan LLP, qui en plus davoir une longue histoire de représentation des Rothschild et dautres sionistes de haute puissance, avait également fait équipe avec le tribunal civil, la société daide juridique et lAssociation City Bar pour établir un projet en réponse aux milliers de petites entreprises qui ont été physiquement endommagées ou perturbées par le 11 septembre.
Dans un documentaire LAmérique reconstruit en 2002 de Public Broadcasting Service (PBS), Silverstein admet être complice de la démolition contrôlée du WTC-7, dun gratte-ciel de 47 étages qui sest effondré en 6,5 secondes et pour lequel il a reçu 861 millions de dollars de son assurance. Les experts en démolition ont depuis soutenu que la manière dont les bâtiments du WTC se sont effondrés ne pouvait être causée que par des explosifs de démolition, et il existe assez dinformations sur Internet montrant limplication israélienne dans les attentats du 11 septembre.
En dehors de Silverstein, la saga juive du 9 septembre comprenaient Ronald S. Lauder un membre du conseil dadministration du comité de privatisation de New York qui avait poussé à la privatisation du WTC, Lewis Eisenberg président de lautorité portuaire de New York qui avait autorisé la vente du complexe du WTC à Silverstein, Jules Kroll propriétaire de Kroll Associates qui avait pour contrat de gérer la sécurité du WTC, Jerome Hauer qui dirigeait Kroll Associates et qui était directeur du bureau du Mayor Rudy Guiliani de gestion des urgences de 1996 à 2000, le rabbin Dov Zakheim de System Planning Corporation qui possédait la technique de prendre le contrôle davions et de les commander à distance et était le contrôleur du Pentagone du 4 mai 2001 au 10 mars 2004 ayant supervisé la disparition de deux grosses sommes dargent du Pentagone dune valeur de près de 2,3 trillions de dollars reportée disparue par le secrétaire de la défense Donald Rumsfeld, Michael B. Mukasey le juge qui a supervisé le litige entre Silverstein et les compagnies dassurance suite au 9 septembre qui sest assuré que Silverstein reçoit une récompense de milliards de dollars, Michael Chertoff un citoyen américain à double nationalité qui était lassistant du procureur général de la division criminelle du ministère de la justice avant de devenir le directeur de la sécurité intérieure, Richard Perle autrement connu sous le nom de Prince des ténèbres qui était le président du conseil politique de la défense au Pentagone à lépoque du 9 septembre et qui fut licencié de Sen dans les années 70, Henry Jackson pris sur le fait par la NSA en train de transmettre des documents classifiés à Israël, Paul Wolfowitz qui était secrétaire adjoint de la défense et membre du conseil de la politique de défense du Pentagone à lépoque du 9 septembre, Eliot Abrams un conseiller clé du conseil national de sécurité malgré sa condamnation au congrès pour laffaire Iran/Contra Affair et pardonné plus tard par le président Bush qui était associé aux groupes de réflexion sionistes/pro-israéliens criminels lAEI, le PNAC, le CSP et le JINSA, ainsi que Perle, Feith, Wolfowtiz et Bill Kristol.
Peu de temps après le 11 septembre, plus de 140 israéliens furent arrêtés pour espionnage, nombreux dentre eux sétaient fait passer pour des étudiants en art. Les suspects avaient ciblé et pénétré les bases militaires, la DEA, le FBI, les services secrets, lATF, les douanes américaines, lIRS, lINS, lEPA, le ministère de lintérieur, le département Marshal américain, plusieurs bureaux davocats américains, des bureaux secrets du gouvernement et même les maisons privées non répertoriées des forces de lordre/agents de renseignement. La plupart des suspects ont servi dans des services de renseignement militaires, dinterception de surveillance électronique et/ou des unités dordonnance explosives. Des dizaines disraéliens furent arrêtés dans des kiosques de centres commerciaux américains travaillant sous couverture pour une opération despionnage. Soixante suspects détenus travaillaient pour la société israélienne AMDOCS, offrant des appels dassistance-annuaire et presque tous les services dappels et de facturations des services des États-Unis grâce à des contrats signés avec les 25 plus grandes compagnies de téléphone américaines.
Après le 9 septembre, le maire de New York Rudolph Rudy Giuliani avait procédé au déblaiement immédiat du site avec près de 120 camions-bennes de 1,5 millions de tonnes de débris encore en combustion contenant des parties de corps et des preuves primordiales qui furent détruites dont une grande partie de lacier déchiqueté fut tamisée à la hâte et vendue à un prix réduit à la société chinoise Baosteel pour empêcher quune enquête approfondie sur la scène du crime ne soit réalisée. Une attaque qui avait été la cause du plus grand nombre de victimes et de dommages de propriétés jamais connue dans toute lhistoire des États-Unis. Giuliani a par la suite menti et changé son histoire en affirmant quil avait soi-disant reçu un avertissement au sujet de leffondrement des tours jumelles quil navait pas transmis aux autres.
Une autre conséquence du 9 septembre était le danger pour la santé aux milliers de personnes présentes sur les lieux et aux premiers intervenants des services durgence qui furent engloutis par lamiante, le benzène, le cadmium, le plomb, le mercure et dautres particules toxiques, desquels ils souffrent toujours et continuent à mourir du cancer malgré les confirmations répétées à lépoque de Chritine Todd Whitman, ladministrateur de lAgence de protection de lenvironnement, que lair était sans danger à respirer et que le niveau de contamination était bas ou inexistant - un mensonge audacieux auquel elle sest obstinément attachée jusquà ce jour.
La dissimulation de la vérité fut orchestrée par ladministration Bush et le président pendant 441 jours jusquau 27 novembre 2002 en sopposant à une enquête et en poussant le chef de la majorité du Sénat, Tom Daschle, à restreindre lenquête du Congrès et à refuser de mettre en place une commission pour enquêter sur les événements tragiques de cette journée. Le fait que le président ait voulu limiter la portée de toute enquête fut affirmé par son choix initial du mégalomaniaque Henry Kissinger comme président hésitant sur la question du conflit dintérêt qui lavait conduit à démissionner sans gloire. Sans se laisser décourager, ladministration Bush fit nomma furtivement le juif sioniste Philip Zelikow un ancien membre de lancien Conseil de sécurité nationale de ladministration Bush directeur exécutif de la Commission qui avait exercé un contrôle criminel et subversif sur la direction et la portée de lenquête. Son remplaçant Henry Kissinger lancien gouverneur du New Jersey, Thomas Kean a par la suite décrit la Commission comme ayant été délibérément établie pour échouer en étant, entre autres, sous-financée et précipitée.
A linsu dautres membres de la Commission de lépoque était le fait qui na jamais été divulgué au public jusquaux derniers mois de lenquête de la Commission que Philip Zelikow avait rédigé un document de 31 pages en septembre 2002 intitulé La stratégie de la sécurité nationale des États-Unis, soumis par ladministration Bush au Congrès. Le document préconisait que les États-Unis devaient édifier et maintenir des défenses militaires au-delà de toute contestation ; devaient veiller à ce que des efforts soient déployés pour sassurer que la sécurité et la protection des américains ne soient pas entravées par des enquêtes, des investigations ou des poursuites en Cour pénale ; et doivaient déclarer une guerre contre le terrorisme parce que « lennemi nest pas un seul régime ou une seule personne ou une seule religion ou une seule idéologie. Lennemi est le terrorisme violence préméditée, politiquement motivée et perpétrée contre des innocents ». Le document de Zelikow, qui était un renversement fondamental des principes américains de confinement et de dissuasion, avait manifestement été rédigé en faisant référence à lIrak et ce fut étrange de voir comment que ce soit par coïncidence ou planifié les événements du 9 septembre et ceux qui ont suivi se trouvaient être conformes au plan israélien de la division et la destruction de ses principaux rivaux arabes au Moyen-Orient.